Souvenirs.

Je marchais sur le bord de la plage, regarde l’horizon, la tête dans les nuages. Les événements ressent se bousculait dans mon esprit et je n’arrivais pas a y maitre de l’ordre. L’attaque de se cingler, ma rencontre avec Léliana, cette sensation étrange que je ressentais quand j’étais près d’elle. Sa rimait a quoi tout sa, a me faire prendre des douches plus souvent? Soupire. Je sorti de ma rêverie alors que la voie de Damien m’appela.

-Dev j’ai quelque chose a te montré.

Je pivotai et alla vers lui. Je figeai quand je vi et reconnu ce qu’il avait dans la main. C’était une partie de la ceinture que je portais quand ils m’avaient jeté du haut de la falaise. Elle avait dérivé jus qu’ici, mais il en manquait une partie.

-Je les trouver ici sur la plage. L’autre bout est peu être au fond de l’eau.

Me dit-il en me la tendent. Je la pris volontiers et je l’examinai. Une vague de souvenir me vient et m’emporta dans le passer. Je revoyais le visage de mon père, tout sourient d’avoir un fils qui aimais t’en se battre et qui était plutôt douer. Mais son rêve se brisa quand ils me bannir a en me jettent du haut d’une falaise. Si l’eau n’avais pas été là, je serai surement mort sur le cou. De puisent frisons me parcourra. Mon regard se tourna vers l’eau et j’entrepris d’enlever mes bottes, ma ceinture, mon arme puis avent que Damien puise me retenir, je plongeai dans l’océan.

Léliana donna un coup de main a Armène pour préparer le souper. En premier lieu, elle dut éplucher un sac de patates, Léliana s'amusa a faire des bonhomme sourire en laissant la peau pour faire la forme sur la patates et les enleva rapidement avant de les plongé dans un basin d'eau froide pour les nettoyer. Elle avait fait apparaitre sa harpe et l'avait enchanté silencieuse pour jouer une douce mélodie tandis que les dames étaient au travail pour le souper des hommes. Elle affichait un large sourire son son visage. Elle adorait venir en service au gens malgré elle, ce qui des fois la mettait dans le pétrint. Pendant ce temps Armène préparait la viande qui devrait être cuite plus tard pour le souper. Léliana présenta son livre devant elle pour lui demander ce qu'elle pouvait faire désormais qu'elle avait fini. Armène dit tout simplement qu'elle pouvait faire une salade et qu'elle pouvait être imaginative pour la créer.

Léliana nettoya la laitue pour enlever la terre qu'il pouvait s'être loger entre les feuilles et s'amusa a faire des forme de l'eau qu'elle utilisait avant que cette dernière ne retombe dans le basin. Armène ria quand un mini courant d'eau flotta devant elle et fit une petite dance avant de retourner à Léliana. Léliana décida d'ajouter des petits fruits a sa salade et aussi des morceaux d'oranges. Une fois que le tout fut finit, du moins pour la préparation Armène demanda alors:

Pourrait tu aller chercher les garçons s'il vous plait. Je crois qu'il sont a la plage présentement.

Léliana fit un signe positif de la tête et prit son livre au passage avant de sortir de la maison. Elle laissa la harpe enchanté ou elle était pour que Armène puisse en profité même lors de son absence. Elle marcha doucement en ville, elle ne connaissait pas trop le coin. Elle finit par trouve la plage en question avait son instint et son attirance vers les lieux aquatiques. Elle vit Damien et Devon parler non loin de la mais ne pouvait pas entendre la conversation. Elle s'approcha mais avant qu'elle ne puisse être assez proche pour eu de sentir sa présence. Devon retira ses bottes, son arme et sa ceinture et plongea dans l'eau sans que personne ne puisse le retenir. Léliana était un peu confuse. Il n'aimait pas vfraiment l'eau mais il y plongeait délibérament pour une raison inconnu. Son livre arriva devant Damien, ce qui signalait sa présence finalement. et sur le livre il était écrit.

Je suis venu ici pour vous chercher pour le souper, Armène ma envoyer, mais qu'es-ce que fait Devon a plonge sous l'eau comme cela?. Il est un salamandre d'après tout, pas un sang pur mais quand même. J'ignore toujours sa seconde race parcontre, il semble plutôot orgeilleux et me la toujours pas dévoilé. Il devrait savoir que je l'accepterai peut importe ce qu'il est.

Elle le regardait avec un visage qui montrait qu'elle se demandait ce qui se passa.

Damien la regarda, lu le texte et ne pu retenir un soupire.

-Il te le dira quand il sera près. Devon est une énigme il est dure de percer sa carapace. Seul moi, nos parents et un autre type sais qu’elle est son autre race.

Puis il reposa ses yeux sur la surface presque noir de l’eau qui devais être glacial a se moment de l’année.

Je fini par atteindre le fond qui était pas mal profond. Je regardai autour de moi scrutent les abimes de l’océan. Je vi quelque chose briller et je nageai vers la lumière. Une fois arrivé tout près je distinguai les mouvements d’une lanière de cuir, le reste de sa ceinture. Je la décrochai de sur un rocher recouvert de corail. J’allais remonter quand autre chose attira mon attention. Quelque chose de plus brillent. J’écarquillai grand les yeux quand je m’aperçu que je savais de quoi il s’agissait. Un médaillon, le médaillon que mon père m’avait offert en disant que s’était un cadeau de ma mère. Je ne l’avais à ma connaissance jamais vu et pourtant je savais qu’il me venait d’elle. Je remontai a la surface plus loin de ou j’avais plongé et je le regardai longuement. De longe spirales s’entortillait sur le bord rond, au centre était représenté une flamme et une pierre noir incrusté en son centre. Je le serra dans ma main droite et une larme coula sur ma joue.

Léliana le vit refaire surface et s'approcher de la plage a nouveau. Léliana ramassa le tout des objets qu'il avait enlever avant de plongé.. Elle s'approcha doucement de lui et déposa ses choses par terre ou c'était sec et passa un bras en dessous du sien et accota sa tête contre son épaule. Elle resentait la peine de Devon et elle voulait lui montrer qu'il n'avait pas a être seul dans sa souffrance. Elle lui envoya une petite vague d'appaissement. Elle était tellement concentrer sur le rassurer et le réconforté qu'elle ne s'apperçu pas que son livre s'était refermer. Heureusement pour elle ce qui sorta de sa bouche était pas plus fort qu'un murmure, mais qui était assez audible pour que Devon l'entendre.

Je suis la tu sais, et on devrait rentrer, le souper va être prêt a notre retour aussi.

Elle se rendit compte de tout apres cela et son visage vira au rouge, tellement elle était gènée.

Je senti Léliana approcher et me serré en posent sa tête contre mon épaule. Je ne lui prêtai pas grand attention, mais quelque chose que j’attendais depuis longtemps se produit. D’abor je cru que j’allusionnait de façon auditive, je baissai les yeux vers elle. Non je n’avais pas allusionné, elle avait parlé, avec sa vrai voix. Je fus détourné pendent un instant du médaillon. La voix de Léliana était cristalline, mélodieuse et infiniment douce.

-D’acore.

Dit-je simplement, n’en revendent toujours pas qu’elle avait parlé avec sa vrai voix. Un sourire discret s’afficha sur mon visage. Léli ne l’avais pas vu, mais elle devait sentir je j’étais plus calme. Damien nous rejoins puis on fit le chemin jusqu'à la maison ou un soupée nous attendait. J’avais remis mes affaires qu’elle m’avait rapportées et j’avais glissé le médaillon dans l’un de mes poches. Je penserais a sa plus tard, présentement je savourais d’avoir entendu sa douce voix. Maman paru soulager de me voir mieux, mon père nous servi et on commença a manger.

Léliana ne parla put apres cela, elle était encore rouge de gêne jusqua la maison. Une fois a l'intérieur elle fit comme si rien ne s'était passé plutôt sur la plage et mangea avec appétit, il fallait dire qu'elle n'avait rien manger de la journée, son morceau de steak était bien cuit comme elle l'aimait et elle trouvait que sa saladeau petit fruit était très réussi. Son livre flottait a ses coté prêt a répondre a toute question qu'elle recevrait des parent de Devon. Elle remercia également le père de Devon quand il la serva une deuxième assiette de patates et de salade pour aller avec son restant de steak.

Moi et Damien on mangea avec appétit, la journée avais été chargé et maman ne fut pas surprise de nous voir manger autant. Aprait le soupé je m’étendis sur mon lit et sorti le médaillon de ma poche et le regarda. De puisent frissons me parcourra, ma mère, ma vrai mère. Un souvenir m’emplit et je me retrouvai dans la ville ou j’avais grandi les dix première années.

J’étais tout petit, je me tenais là en attendent que mon père me montre ce qu’il m’avait rapporté. Quand il desserra la main je pu voir avec admiration le joli médaillon. Je l’entendais encore me dire…

-Devon ce médaillon c’est ta mère qui te l’offre. Je sais que tu aimerais qu’elle soi là et elle aussi aimerait être là. Mais sa nous attirait des ennuis. Sache qu’elle t’aime et qu’elle ne veut que ton bien, Devon. Elle s’appel Estrelle.

Je fermai les yeux et versa une larme. ‘’ Estrelle, je te retrouverais maman, toi aussi papa, Adir. Je rouvrir les yeux et contempla le plafond. Je me redressai momentanément et mis la corde de cuir a mon cou. Le médaillon brillait à mon cou, la corde pouvait s’ajuster. Je m’allongeai tout en remettent mon regard au plafond.

Léliana finit son assiette et regarda devon et Damien manger. Ils avaient certainement faim. Une fois que le tout était terminer et que tout le monde c'était bien rasasier il était le temps de faire la vaiselle. Devon se leva et prit retraite dans sa chambre. Léliana proposa son aide pour faire la vaiselle. Damien se joigna aux dames. Léliana s'amusait a faire des formes avec l'eau a nouveau tout en travaillant méthodiquement. La vaisselle se fit plutôt rapidement, plus rapidement que Léliana s'attendait au tout début. Elle regarda dehors et il fesait déja nuit. Elle commença a faire son chemin vers l'extérieur quand Armène lui dis.

Pourquoi ne reste tu pas, il y a pleinement de place pour t'installer dans la chambre de Devon tu n'as pas a aller te trouver un endroit pour la nuit quand tu es le bienvenu ici.

Léliana sourit et la remercia et doucement elle alla vers la chambre de Devon, s'ayant réveillé dans sa chambre plus tôt dans la journée, elle connaissait ou elle se trouvait. La porte était fermer. Elle cogna donc pour être poli et ouvra la porte juste assez pour faire passé son livre pour lui demander si elle pouvait entrer.

Ta mère ma dit que je pouvait rester pour la nuit et qu'on pouvait m'installer ici. Puis-je entrer?

Elle attenda sa réponse l'autre coté de la porte.

Je levai la tête pour voir le livre qui m’était familier. Je fis un rapide tour de ma chambre, des yeux et repéra la banquète devant la fenêtre. Elle était assez large pour qu’un être humain puis y dormir. Un soupire s’échappa de mes lèvres.

-Oui entré.
Dis-je sen plus en me redressent pour la voir entré. Je lui pointai la banquète. Je ne sais pas comment les filles réagisse quand elle voyait un garçon torse nu, mais sa ne sembla faire aucun effet sur Léliana. Il était vrai qu’elle m’avais déjà vu comme sa, mais bon. Je me glissai sou les couvertures.

-Si vous avez froid les couvertures son dans le coffre, celui de droite.

Elle pu voir les coffres facilement, ils se trouvaient au pied du lit. J’attendis qu’elle se rende a la banquète puis je fixai la flamme de la bougie et elle s’éteint comme si on lui avait soufflé dessus. Puis je m’en voulu de l’avoir fait de cette manière, ma chambre était rempli d’armes de toute sorte et dans le noir sa pouvait faire peur. Mais bon elle ne les verrait pas si elle dormait.

Léliana entra dans la chambre tout doucement et le vit la sans chandail. Elle fit de son mieux pour ne pas rougir. Il était musclé et très joli. Il lui dit qu'elle pouvait s'installer sur la banquète, elle était un peu déçu de ne pas pouvoir se coucher a ses cotés et être tout au chaud, elle pri une couverture a passage et s'installa sur la banquète et vu que la flamme de la bougie s'éteigna par magie. Elle s'endormit d'un doux sommeil, mais très léger. Quelque heure se passa et elle se réveilla dans la noirceur totale. Les ombre que fesait les armes un peu partout dans la pièce commencèrent a lui faire peur et ce fut plus fort que elle, elle se leva doucement et se glissa dans le lit avec Devon tout doucement elle déposa sa tête sur son torse tout chaud et confortable et juste le fait d'être proche de lui la rassura et elle se rendormit, mais cet fois-ci d'un sommeil beaucoup plus profond. Si quelqu'un les verrait, il trouverait probablement la scène toute mignonne.

Je ne remarquai pas tout de suite qu’elle avait quitté la banquète pour se rendre dans mon lit. Je fessais un rêve que j’avais déjà fait dans le passer, mais il était légèrement différent. J’étais en plaint milieux de l’océan et un poids m’empêchait d’atteindre la surface. Une heure entière passa avent que mes paupières ne se soulèvent. Il y avait un poids sur moi et s’était inhabituel. Je me redressai et sursauta en voyant la provenance du poids. Je fis les gros yeux, Léliana avais la tête coucher sur mon torse. Minute la, je rêve, c’est sur. Je tournai la tête vers la banquète, elle était vide. Pas de Léliana y dormait. Merde, elle était belle et bien dans mon lit, la tête sur mon torse, nue en plus. Je tentai de la repousser, mais elle s’accrochait comme un petit chat, s’en les griffes. Une chance. Je me forçai à respirer calmement, bon autre tentative. Des flammes apparurent sur mon torse, j’espérais qu’elle se réveille et qu’elle se tasse vite fait.

Sans se réveiller elle se tenait fortement apres lui. Elle senti une chaleur plus grande et son subconscient enregistrait la présence de flammes et de l'eau apparu de nul part, c'était pas beaucoup mais juste assez pour éteindre les flammes présente. Il y avait un peu d'eau qui arosa Devon, mais Léliana restait bien la sur son torse. Il avait probablement pas encore remarquer, mais avant de s'endormir, elle avait retirer son corset et sa jupe et était désormais vêtu uniquement d'un brassière sans bretelles et ses petite culottes. Elle dormait encore profondément et ne paraissait pas dut tout consciente que le feu avait arrivé et disparu pratiquement aussi rapidement. Elle rêvait curieusement a lui et a être dans ses bras et dans son rêves, il semblait apprécier. Des fois ses rêves étaient des rêves prémonitoires et lui montrait des évennement futur.

De l’eau arrivent de nul par vient éteindre les flammes me mouillent par la même occasion. Je poussai un soupire, me sécha et essaya de dormir vu qu’elle ne voulait pas décoller de là. Au bout de quelque minute le sommeil revient et je fermai les yeux. Quand sept heure du matin approcha j’eu le réflex de la pousser ore du lit. J’ouvris les yeux, mais avant je me plaçai sur le ventre, puis je me réveillai en sursaut. Le poids n’était plus la.

Elle dormit toute la nuit sans même bouger. Il était rendu vers sept heure du matin quand sans même s'en rendre compte qu'elle avait été pousser en bas du lit. Certe c'était plus froid et dur, mais sa tête arriva sur l'oreiller qu'elle avait quand elle était sur la banquete. Elle avait du tomber quand elle avait changer de lit. Ses cheveux tombit derrière elle, dévoilant tout son corps qui était que vêtu de ses sous-vêtement a tout les yeux présent. Une chance pour elle, seul ceux de Devon était dans la pièce, mais malheureusement pour elle, elle se retouvait a être sur le dos donc rien ne pouvait vraiment être dissimuler.

Je fini par me redresser et tourna la tête vers la banquète. Personne. Je me mis a genoux et me massa le front pour chasser les images de mon rêve qui restait accrocher. Je redressai la tête. Si Léliana n’était pas sur la banquète ou était-elle? Je pivotai la tête vers la droite et resta bouche bé. Je m’approchai du bord, je n’arrivais pas a détourner le regard. Léliana n’était pas nue, mais pas loin et disons beaucoup de peau était visible. Ses long cheveux était vers l’arrière et la dévoilait. J’avalais difficilement tout en essayent de détourner le regard, mais n’y arrivait toujours pas. Il en rougi.

La froideur, la froideur du sol finit par se faire resentir a travers du corps de Léliana, la réveillant légèrement. Elle finit par se réveiller et s'étira légèrement, poussant sa poitrine vers le haut, plus proche du regard de Devon. Tout doucement, elle ouvrit ses yeux encore endormit et regarda vers le lit par réflexe. Elle vut le regard de Devon sur elle et se demanda ce qu'il regardait et ensuite elle se rendu compte qu'elle avait dormit comme a son habitude, en sous-vêtements. Elle devient presque aussi rouge qu'une tomate et prit rapidement la couverte sur la banquise pour se dissimuler un peu plus, mais il était trop tard, il avait tout vu ce qui était non couvert par ses sous-vêtements qui ne laissait pas grand a imaginer. Elle essaya de se cacher en dessous du lit mais il étaittrop bas de terre pour la laisser passé la rendant plus rouge que jamais. Son livre viens se planquer devant la figure de Devon pour qu'il ne puisse put voir. Dessus il était écrit:

Pourrait tu tourner la tête pendant que je me couvre un peu?

Je la vi ouvrir les yeux, elle était si belle. Mes joues n’étaient plus que rosé, mon souffle plus calme. C’était la première fois que je voyais une fille comme sa et sa me fessait tout drôle. Si vulnérable, si innocente. Léliana chercha à se cacher et je m’en voulu de toujours la regarder. Puis son livre arriva à toute vitesse pour cacher mon visage. Je la comprenais bien. Je détournai les yeux de puissent frissons me parcourent le corps. Pour lui montrer que j’avais fermé les yeux, je fermi le livre et le posa sur le lit. Je basculai vers l’arrière pour m’étendre sur mon lit, toujours les yeux fermé. Moi qui était si chaud et dure à refroidir, je frissonnais et sa se voyait sur ma peau. Par réflexe une petite flamme vient se loger au creux de mon dos. Pour venir réchauffer se corps qui habituellement n’en avais pas besoin. Des qu’elle fut a la banquète je me levai pris une chemise sur un crochet près de la porte l’enfila et sorti de la chambre. Tout sa les yeux fermer. La détection des choses vivante et immobile était très pratique.

Léliana était rouge et s'assura qu'il ne regardait put dans sa direction et doucement se leva et alla a la banquête ou se trouvait ses vêtements. Elle se recouvra au complet avec la couverture et le vit partir. Elle verrouilla la porte pour pas qu'il puisse re rentrer pendant qu'elle s'habiillait. Elle remis son corset en premier et prit un peu de temps a le réattacher comme que elle l'avait completement détaché la veille. Sa jupe elle fut plus rapide comme que le tout était qu'un simple élastique à la taille juste la bonne grandeur pour elle, mais elle portait quand même une délicate ceinture pour retenir le tout en place. un fois finit elle sortit de la chambre pour aller rejoindre les autres. Par contre, quand elle arriva dans le salon ou se trouvait Damien et Devon, Léliana regarda Devon et devint toute rouge, elle leur envoya son livre et il était écrit:

Je reviens je vais aller me raffraichir un peu.

Elle sortit rapidement de la maison pour pas montrer trop qu'elle était toute rouge encore de gène comme que Devon l'avait vu dans un habillement que personne sauf sa propre mère l'avait déja vu. Elle marcha rapidement vers la plage, cette fois ne se trompant point de direction et une fois rendu ell enlevit que sa jupe et sauta a l'eau. L'eau était rafraichissante et la calma un peu.

Je n’haussais pas la regarder quand elle arriva a nous. J’étais trop gêner et honteux. Quand elle sorti je me rendis a ma chambre et me hissa sur le toit. Puis pendent un moment je voulu aller dans la forêt, mais sa me rappela Léliana et je me ravisai. A la place je restai là à regarder le ciel. Une pression froide me ramena à la réalité. Je portai mes dois a mon cou et je me rendis conte que je portais le médaillon. Le pris entre mes doits et le regarda. Le fessant miroité au contacte du soleil. Je me levai, sauta du toit et me rendis à l’ endroit exacte ou ils m’avaient trouvé et me laissa tomber sur le sable.

-Tu sais maman, il fau que tu sache que ne t’en veux pas. Je suis même content d’être différent. Cependant les choses ne se déroule pas toujours comme on aurait voulu que sa se passe. J’en connais quelque chose. Et la il y a une fille. Je ne sais pas comment mi prendre.

Je détournai le regard et le posa sur l’immensité bleu, j’eu un petit sourire.

-Et croire que c’est elle qui ma sauver, alors que tout le monde sais que les Salamandres on l’eau en horreur. Il y a autre chose aussi, la fille en question elle contrôle l’eau des qu’elle voie une petite flamme elle me donne une douche forcé. Et il y a se livre volent qui la suis partout et qui écrit se qu’elle veut dire. Je n’est entendu sa vrai voie qu’une fois, elle est si belle…

Je reposai mes yeux bronze au ciel.

-Je ne sais vraiment pas comment mi prendre…

Je savais bien qu’elle ne pouvait pas m’entendre vu qu’elle se trouvait sur le continent de Gorgal. Mais sa me fessait du bien de parler, même s’il avait personne pour entendre.

Je me redressai soudainement, une voix me parvenait. Pourtant il y avait personne autour de lui. Puis je perçu une présence. Léliana. Mes joues virèrent au rosé, elle avait entendu se que j’avais dit. Ou peu être pas. En tout qua moi j’avais bien entendu sa douce et mélodieuse voix chanter cette chanson. Une chanson qui me fit rougir, elle parlait de moi là? J’avais parlé d’elle… Je fermai les yeux me laissent tomber sur le sable humide. Il eu un moment de silence. Puis j’entendis quelque chose ou plutôt quelqu’un émerger de l’eau. J’avalai de travers en la voyant approché de moi, elle avait l’aire d’une apparition. Je n’arrivais pas à parler, la moindre parole restait au fond de ma gorge, refusent de sortir. Les battements de mon cœur avaient considérablement augmenté et je ne pouvais les ralentir. Se qu’elle avait dit, si c’était vrai me touchait a un point que je n’arrivais plus à bouger. J’avais surement l’air stupide.

Léliana ouvrit son livre et comme par magie sa jupe apparu sur elle, recouvrant ses longues et délicates jambes. Elle s'approcha doucement de Devon d'avantage et de sa douce main, referma la bouche grande ouverte de se dernier Elle referma son avant de dire sa douce voix:

Je croit que tu m'es entendu, mais je me privent de puissance pour la prochaine fois que je devrait utilisé ma voix pour ma magie, on dirait que ca ta plut,pardonne moi mais je vais retourne a l'utilisation de mon livre.

Elle réouvra son livre et le présenta a Devon. Dessus il était marquer:

Je t'ai entendu parler plus tôt a ta mère, ta vraie mère, tes vrai parents te manques je sens, je m'ennui également des miens, je n'ai jamais connu mon père, mais je suis a sa recherche depuis presque un an, je connait que son nom malheureusement, ma mère est décédé pas longtemps que je commence mon voyage a la recherche de mon père.

Une petite larme coula sur sa joue. Elle pensait a sa mère, morte un an auparavant dans ses bras.

La chanson tu sais étais pour toi. Et je suis désolé si je te trouble.

Elle colla sa tête sur son épaule tout doucement, elle le comprenait.

Peut-être devrais-je partir.

Elle se leva doucement, presqu'a contre coeur. et commenca a partir

Partir… Non. D’un seul coup je me défi de la pierre et la retins par le bras. Je respirais difficilement et des qu’elle se retourna je la lâchai. Je fessais tout pour régulisé ma respiration. Pas facile quand elle était là, juste devant moi. Et un autre truc étrange se passait en moi. J’avais soudainement envi de la serez contre moi pour qu’elle n’est pas de larmes. La réchauffé, la réconforter. D’un mouvement mal assuré je m’approchai d’elle et l’enlaça. Pas fort, mais doucement. Entendre le son de sa voie me fessait toujours du bien, un bien fou. Mais qu’elle est recommencer a communiquer avec son livre ne me fâcha pas, cette fois. Elle pouvait surement entendre les battements de mon cœur maintenant.

-C’est nouveau pour moi, laisse moi m’habituer.

Les mots étaient sortis si naturellement. Que sa me fit tout drôle.

Léliana fut surprise quand il la retint de partir. Sa respiration a elle aussi était plutôt rapide. Elle ne savait pas pourquoi, mais être proche de lui était pratiquement une nécessité, mais elle ne voulais pas le troublé non plus. Elle fut encore plus surprise encore quand il s'approcha doucement et la prit doucement et la colla contre lui, une chance qu'il ne pouvait plus voir son visage, car elle rougit comme jamais elle n'avait rougit auparavant. Elle avait espéré depuis qu'elle le connaissait un peu plus et avait découvert sa douceur et comment il était confortable malgré ses éléments. elle colla sa t^te contre son torse et entendit ses battements de coeur, son coeur battait fortement et rapidement. Un petit sourire s'afficha sur son visage cacher par ses long cheveux.

Je la repoussai doucement pour mieux la voir, mon visage n’était pas rouge ni rosé. Mon calme était revenu. Le bronze de mes yeux la regardait, je ne pouvais pas m’en empêcher. Mais qu’es qui m’arrive? Je suis amoureux, je crois…

-Bon il faudrait rentrer, si non ils vont se demander se qu’on fabrique.

En baissant légèrement les yeux. Un peu gêner par m’est parole un peu défaiseuse de bon moment. Mais je l’attirai à moi pour le trajet. Je savais qu’elle aimait être proche et qu’elle me trouvait confortable. Alors pourquoi pas, maintenant que je commençai a mi faire.