Souvenirs.

Elle le regarda droit dans les yeux quand il la repoussa un peu pour la regarder, elle avait elle aussi reprit de son calme, mais savait au plus profond d'elle qu'elle ne voulais pas le quitter pour trop longtemps. Elle était certaine que si elle se trouvait trop loin de lui trop longtemps, elle s'ennuyerait trop de lui. Quand il proposa de rentrer avant que les autres se demande ce qu'ils étaient en train de faire, elle fit signe qu'elle était bien d'accord avec lui. Il n'arrêta pas de la surprendre se matin la car il la colla contre lui passant un bras sur sa taille pour être sur qu'elle était proche de lui. Elle adorait le tout. Puis soudain elle pensa a quelque chose et le transcrit sur son livre qui flotta devant eux et le fit lire a Devon.

Ta famille devrait tu nous voir comme ceci ou pas, juste pour savoir, et je ne suis pas certaine que je pourrai me retenir longtemps de ne pas être collé contre toi un fois rendu.

Suite a cela, son ventre commenca a gargouiller. Certes, elle avait manger beaucoup au repas précédent, mais le tout d'émotions qui lui arrivait, lui ouvrait l'appétit.

Désoler, je pense que j'ai faim.

Fit t'elle apparaitre quelque instant après s'être assurer que Devon avait tout lu le message précédent.

Oups… Ma famille… Merde, bonne question. En pensent sa je m’étais arrêté net. Je l’aimais oui, mais est ce qu’elle ressentait véritablement les mêmes sentiments? Et moi qui na pas le courage de l’embraser… Mais qu’es qui m’arrive, j’ai la trouille d’embraser une fille… Puis quand un bruit sorti du ventre de Léliana j’eu un petit sourire. Oui un bon petit déjeuner sa va nous faire du bien.

-Je vais m’arranger avec eux pour pas qu’ils se fassent de fausse des idées. Mais retient toi. J’ai l’impression que mon frère va me taquiner avec sa.

Je secouai la tête puis recommença a marcher, la tenant toujours a la taille. Quand on arriva à une certaine distance de la maison je la décollai de moi et comment sa a marcher plus vite. La tête basse j’avais de la difficulté a avancer car une parti de moi voulait rester près d’elle.

Elle marcha coller contre lui et quand il s'éloigna, elle comprit qu'il n'était pas près d'être trop proche en présence de sa famille. Elle marcha rapidement elle aussi, mais ne se colla pas a lui, malgré qu'elle le désirait. Elle l'aimait c'était certain, mais igorait ses sentiments a lui. Elle avait déja donner tout les indices nécessaire pour qu'il comprenne qu'ell était intéressée, mais seul lui devrait les interpreter. Elle marcha a un distance normal pour deux personne se connaissant et fit rien de spécial pour l'instant. Quand ils entrèrent enfin dans la demeure, Damien était encore assis a la même place que quand elle était partie et Armène était maintenant réveiller et se préparait pour faire le petit déjeuner. Ca sentait les crèpes légèrement et le ventre de Léliana grondit de nouveau. Elle affichait un sourire radieux.

Quand le ventre de Léliana j’étouffai un rire puis commença à manger avent que quelqu’un me des questions. Je mangeai à bon rythme, me leva une fois mon assiette terminer. Je confiai que j’avais besoin de calme et de tranquillité puis sorti sen autre préambule. Mes pas me menèrent à la plage puis j’embarquai sur les galets un peu plus loin. L’air salin me fessait du bien et m’aidait à remettre de l’ordre dans mes idées. Il y avait un de c’est vacarme. Mais en image de font il y avait Léliana, se qui embrumait encor plus. C’est sentiment que je ressentais était pourtant clair, mais je ne pouvais pas lire dans ses penser pour voir si elle aussi était intéressée. Elle le collait sen arrêt, mais sa ne prouvait pas, puis il y avait la chanson… Soupire. Puis autre chose me passa par la tête, et si c’était moi qui fessais le premier pas… Un sourire éclaira mes lèvres et en plus je savais déjà comment procéder.

Léliana s'installa a table avec tout le monde avec un sourire radieux au lèvres, parcontre au fond de elle, elle était un peu triste, car elle devrait les quitté très bientôt, elle n'avait pas prévu rester longtemps en ville. Elle voyageait pour une seule raison, retrouver l'homme qui était son père biologique, un homme qui ne savait même pas qu'elle était née ou même qu'elle existait. Après le repas, elle regarda Devon quitté vers la plage. Elle se dit qu'il devait avoir besoin d'être seul. Elle décida donc d'aidé a nouveau a débarasser la vaisselle. Quand le tout fut terminer elle marqua sur son livre.

Je dois aller faire quelque commission en ville, je vais devoir bientot reprendre la route et continuer ma recherche de mon père. Si je ne reviens pas, je veux vous remercier pour tout ce que vous m'avez procurer ces deux derniers jours, aurevoir.

Elle sortit doucement de la pièce après avoir recu des caresses de Armène et des mots de départure au cas ou. Léliana partit vers la ville vers une adresse qu'elle avait recu dans la ville précédente. Elle marcha doucement, attirant tout les regard masculin sur elle encore une fois. Elle pensa que tout ses hommes n'étaient que des pervers et les ignorait totalement. Elle finit par trouver l'endroit, c'était un marchant divers, il vendait armes, armures, bijoux et plein d'autres provenant d'une multitude d'endroit. l'homme a la taverne du village précédent lui avait dit que ce marchant pourrait probablement la renseigné si son père était un de ses clients ou vendeurs. elle arriva devant lui comme qu'il n'y avait personne encore dans le magasin et avec son livre lui demanda après que celui-ci dise:

Comment allez-vous milady et que puis-je faire pour vous. Rechercher vous un collier exotique ou encore une courte dague pour protégé votre somptueux corps?

Je recherche rien de la sorte, mais plutôt une information si vous la connaissez. Je recherche un homme spécifique et je fut envoyer a votre porte car il se pourrais que vous le connaissez. Son nom est Rahjuu, mais c'est tout ce que je sais, personne ne le connais vraiment tout ce que je sais est qu'il est en vie et c'est a peut près tout, sauriez vous ou je pourrais le retrouver?

L'homme lit le livre et prit un grand livre de sous le contoir et le déposa sur le dessus, c'était un vieux manuscrit et tout les vendeurs et acheteurs du marchand se trouvait dedans. Après avoir consulter plusieurs page le marchand dit alors:

Il n'y a que deux Rahjuu que je connaisse, le premier est un jeune elf artisan dans la cité de Sylvanna, l'autre est un type plutôt mystérieux qui habite a la cité impérial, Edenras et est l'unique forgeron de la place. Habituellement les armes faites par lui sont de très bonne qualité et se vends cher et rapidement. j'espère que cela vous aide. Et êtes vous sur ne rien vouloir d'autre?

Léliana répondu doucement avec son livre.

Non merci, j'ai tout ce que j'avais besoin aurevoir.

Elle sortit doucement et marcha un peu dans la ville, rammassant nourriture et vivres pour la route. Elle trouva aussi qu'elle devrait se déplacé a une autre ville pour prendre le seul bâteau voyageant a la cité impériale. Ses pensées se virèrent vers Devon. Oui elle l'aimais, mais comment lui dire, et aussi comment faire pour trouver son père si elle s'attachait trop a lui. elle marcha doucement et ne se rendit pas contre quand un homme la prit par la taille de force et commencait a la trainer dans une des nombreuse ruelle de la ville. de réflexes elle envoya son livre a la première personne qui lui vint en tête, Devon. Espèrant que son livre le trouve a temps...

Je m’étais dirigé vers la plage après avoir manger. Le visage de Léliana était toujours encré dans mes penser et je ne pouvais l’y enlever. Trop pris dans le tourbillon de mes penser, je ne senti pas la belle s’éloigner vers la ville. Le médaillon a mon cou, je le touchais essayent de me rappeler une image de ma mère. Mais rien ni fessait. Une certain temps passa puis sen crié gare le livre qui m’était si familier arriva à toute vitesse et s’arrêta juste devant moi. Tout de suite je m’inquiétai, c’était mauvais signe qu’elle ne soi pas présente. En grosse lettres était inscrit.

-A l’aide!!!

Le livre bougea comme s’il avait su que j’avais terminé de lire puis il s’élança vers la ville. Je m’élançai à sa poursuite, il me mènerait surement jusqu'à Léliana. Mon cimeterre a la ceinture et deux dagues dans chacune de mes bottes! Pas étonnent pour le champion de l’arène. Le livre volent me guida jusqu’au plus profond de la ville et ralenti tout près de ruelles sombre. Je perçu la présence de Léliana et d’un autre individu. Je me glissa silencieusement dans l’ombre en m’avancent vers l’homme qui avais fait l’erreur d’attaquer Léli.

Pendant ce temps, Léliana se trouvais la sans défense vraiment, muette, elle était une excellente victime pour tout genre de choses. Cet homme avait une très bonne idée de ce qu'il voulait faire. Il voulait faire comme tout autre homme qui avait posé les yeux sur elle, la violé, abusé de son magnifnique corps pur. Il n'était pas le premier a s'essayer, mais heureusement pour elle, elle s'en était sortit de justesse a chaque fois, mais la personne ne la verrais, personne ne l'entendrait. Sa seule chance était si Son livre retrouverait Devon a temps et qu'il serait de retour avant qu'il ne soit trop tard. Elle ne se laissa quand même pas faire malgré que physiquement, elle ne fesait pas le poids mais quand même, plus elle se débatterais, plus ses chances d'être secouru.¸L'homme avait réussi a mettre sa main sur a poitrine sous son corset. Et il commençait à descendre sa jupe et ses culottes c'étais mauvais signe. Ce fut a ce moment la que son livre réapparu au bout de la ruelle. Cela voulais dire que Devon était pas loin. Elle se détendit un peu intérieurement. Enfin elle était presque sauvé.

Léliana était en vu et se gars allait en manger toute une. Je m’approchai discrètement, quand il fut a porté de main je l’empoignai et l’éloigna de Léliana en l’emportent dans l’ombre. Je le retournai vers moi, mes yeux était maintenant noir encre et je devais lui faire peur a max.

-Si, si tu la veux je te la laisse…

Réussit-il à dire. Un sourire qui n’avais rien de rassurent se dessina sur mes lèvres. J’avais le gout de lui cracher au visage, mais juste en le regardent de la sorte je lui fessais déjà assez peur.

-Tu fais erreur mon gars. Je ne suis pas de ceux qui veulent la violer. Non moi je suis de ceux qui la protègent. Alors la prochaine fois que tu hausse poser tes yeux sur elle tu va passer un sale quarre d’heur.

Je reviens dans la lumière l’envoya balader contre un mur, violement. L’homme se releva et parti en courent sen demander son reste. Quand mes yeux se posèrent sur elle, ils étaient redevenu a la normal. Je replaçai ses vêtements correctement et je la serra contre moi. Je la sorti de la ruelle et je fis apparaitre une boule de feu au creux de ma paume. Pour avoir une certaine lumière ambiante.

Quand elle senti l'homme se faire tiré loin d'elle, elle fut soulagée. C'était finit, enfin elle étais en sécurité. Malgré cette sécurité elle avait de la misère a bouger tellement elle tremblait. L'épreuve était plutôt terrifiante de son point de vu et cela prendrait du temps avant qu'elle s'en remettre. L'homme qui l'avait agresser avait peur dans sa voix et ses actions, il devait avoir la peur de sa vie et c'était tant mieux pour lui après ce qu'il venait de faire. Elle fut gênée quand Devon était pas un de ceux qui voulais la violer mais plutôt la protéger. Elle fut encore plus surprise qu'il replace ses vêtements qu'elle avait sans vraiment remarquée laisser doucement descendu et lousse. Intérieurement, elle savait que c'était quand même dur pour lui de ne pas regarder plus d'elle, il aurait eu un sérieux problème s'il n'était pas attiré par elle d'une ceraine manière. Ses races lui donnait un corps que plusieurs donnerait chère de pouvoir avoir et elle l'avait naturellement. Oui c'était des fois une mauvaise chose quand un type s'essayait comme ce qui venait d'arriver. Quand il la serra contre lui, elle tremblait toujours, un larme commença a se former dans le coin de ses yeux. Elle resta coller contre lui et prit son livre et le ferma. Tandis qu'ils marchèrent, elle dis d'une voix très douce presqu'un murmure que juste lui pourrait entendre:

-Je te remerci pour tout et je suis désolé.

Ses larmes qu'elle avait jusque la retenu ne purent être contenu plus longtemps et coula le long de la douce peau de sa joue. Elle se colla d'avantage de lui quand des gens passant était trop proche d'elle. Elle pensa qu'elle devra également retarder son voyage a Edenras un peu.

A chaque fois que des gens passaient trop près a son gout, Léli se collait contre lui. Devon aimais quand elle se collait, mais autre chose lui trottait dans la tête pour le moment.

-Je te remerci pour tout et je suis désolé.

Quand il l’entendu il frissonna, sa voix était si belle et douce. Devon la sera contre lui. Quand ils furent plus près de la maison il lui demanda.

-Léliana pourquoi tu es parti comme sa?

Il l’avait placé devant lui et la regardait avec des yeux qui voulaient comprendre. Léli lui fessait de l’effet c’était sur et il ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose. Il avait posé ses deux mains sur ses épaules frêles. Devon attendait une réponse.

-C’est dangereux de sortir a cette heure, il y a des dangers partout ici même durent la journée.

Il soupira, il en savais quelque chose avec tous les combats qu’il avait faits et gagner contre les gens de la ville et les passent. Et la en plus la nuit il avais d’autre sorte de malade.

Elle continua de pleurer doucement, sachant que sa voix serais brisante du a ses pleures, elle ouvrit a nouveau son livre et le tourna vers lui pour qu'il puisse lire ce qu'elle avait a dire.

Depuis presque un an je suis a la recherche d'un homme en particulier, je connaissais que son prénom, avant de te rencontrer, j'avais été dirigé vers un des vendeurs dans cette ville qui aurait put m'aidé a me donner des renseignements aussi longtemps que l'homme, je recherche cet homme car ce fut un des voeux de ma mère lors de ses derniers souffles de vie. Elle ne voulait pas que je sois seule pour trop longtemps, Cet homme est quelqu'un qui ignore mon existance pour l'instant et j'ai découvers aujourd'hui en allant a ce vendeur qu'il serait fort probable qu'il se trouve sur Edenras. J'ai peur un peu parcontre, comment va t'il réagir. Je planifiait quitter aujourd'hui, mais je croit avoir manquer le Bâteau allant a Edenras. Certes je veux rester proche de toi, cela me déchirais de devoir quitté, mais je dois finir ce que j'ai commencer quand ma mère est morte il y a un peu plus d'un an.

Elle referma le livre après s'être assurer qu'il avait tout lu e colla sa tête contre son torse chaud et confortable, laissant encore plus aller ses larmes couler, elle passa ses bras autour de lui, du moins au plus qu'elle le pouvait comme qu'elle éétait quand même petite et lui si musclé.

Depuis presque un an je suis a la recherche d'un homme en particulier, je connaissais que son prénom, avant de te rencontrer, j'avais été dirigé vers un des vendeurs dans cette ville qui aurait put m'aidé à me donner des renseignements aussi longtemps que l'homme, je recherche cet homme car ce fut un des veux de ma mère lors de ses derniers souffles de vie. Elle ne voulait pas que je sois seule pour trop longtemps, Cet homme est quelqu'un qui ignore mon existence pour l'instant et j'ai découvert aujourd'hui en allant à ce vendeur qu'il serait fort probable qu'il se trouve sur Edenras. J'ai peur un peu par contre, comment va t'il réagir. Je planifiais quitter aujourd'hui, mais je crois avoir manqué le Bateau allant a Edenras. Certes je veux rester proche de toi, cela me déchirais de devoir quitté, mais je dois finir ce que j'ai commencé quand ma mère est morte il y a un peu plus d'un an.

Je lu attentivement tout les mots inscrit sur la page manuscrite. Un homme qu’elle voulait retrouver, un homme qui n’était pas au courent de son existence? Edenras, le continent impérial si je ne m’abuse. (Certes je veux rester proche de toi, cela me déchirais de devoir quitté, mais je dois finir ce que j'ai commencé quand ma mère est morte il y a un peu plus d'un an.) Léliana referma son livre et se blotti contre moi. Si d’autres aurait eu encore des doutes, moi j’en avais plu. Je la serra a mon tour dans mes bras.

-Nous allons prendre se bateau demain. Vien pour l’instant on va retourner à la maison.

Dis-je sen plus, je continua a marcher la tenant toujours contre moi.

Quand il lui dit qu'ils pourrait prendre le bâteau le lendemain, un etit sourire s'afficha sur son visage, mais pas longtemps, elle était quand même encore secoué par tout les évenements de la journée. Elle marcha collé contre lui et aimais l'attention. Quitté sans lui serait très difficile pour elle, malgré le peu de temps qu'elle eu passé avec lui, elle avait follement et irrevocablement tomber amoureuse de lui. Il y avait quelque chos chez lui, dont elle ignorait ce que c'était. Il approchait la jolie petite maison ou Devon habitait avec une famille différente de lui en terme de races, mais tout aussi chaleureuse et accueillante que lui, malgré qu'il fesait son dur des fois. Son livre se remit a flotter devant eu, et en une belle écriture dorée apparu les mots,

-Merci pour tout.

Peut de temps après il était la devant la porte et elle le regarda droit dans le yeux, son livre à nouveau fermer. Elle ne voulais pas être la première a agir, à faire le premier vrai pas, elle lui avait donné plein d'indice et de signes les derniers jours, mais les avait-il remarquer?.

Je lu le court message manuscrite.

-C’est normal tu sais.

Lui dis-je en lui caressent la joue de mes dois. Elle était si belle, si fragile. L’amour s’installait, j’avais bien sur vu toute les attentions qu’elle avait faites et c’est pour cette raison que je tenais tellement à elle. Je la conduit jusqu'à l’intérieur et la mena a ma chambre.

-Dit moi Léliana que connais-tu de cet homme que tu cherche? Une connaissance de ta famille? Ou tu na pas d’idée sur son identité?

Lui demandai-je en m’assoyant sur mon lit. Mes yeux bronze ne pouvais pas s’empêcher de la regarder.

Il était si doux avec elle, mais elle se demandait ce qu'il attendait pour aller de l'avant. Certe il s'améliorait, mais pas encore au point. Elle fut surprise quand il l'entraina dans sa chambre a lui passant devant Armène qui devait trouver ça mignon, mais étrange quand même. Léli lui fais un bonjour de la main suivant toujours Devon de proche. Un fois en dedans il ferma la porte derrière eu et lui demanda ce qu'elle savait sur cet homme qu'elle recherchait. Elle ouvra son livre a nouveau et commença a lui expliquer, laissant quelques détails en dehors de la conversation comme par exemple le fait qu'il était son père.

Je connais pas grand chose sur lui, seulement que c'est un homme d'honneur et qu'il a réussi à avoir la confiance a ma mère il y a plusieurs années. Je sais aussi qu'il est forgeron et il semble faire un très bon travail comme que l'homme qui ma donner les renseignement aujourd'hui m'a dit. Ce que ma mère a dit aussi est que je m'entendrait bien avec lui et qu'il devrait être en mesure de me protégé comme que tu le fais et s'occuper de moi, même si me débrouille assez bien pour moi même sauf en cas d'attaques de pervers et de brutes.

Elle s'assit à coté de lui tandis qu'il lisait tout ca et se colla contre son épaule déposant sa tête le plus haut possible, mais finit par changer d'endroit et se colla contre son torse sans pour autant lui nuire a sa lecture.

Les pages tantôt vierge commencèrent a se noircirent d’une belle écriture manuscrite. Des que la plume invisible cessa d’écrire, je commençais à lire.

Je ne connais pas grand chose sur lui, seulement que c'est un homme d'honneur et qu'il a réussi à avoir la confiance a ma mère il y a plusieurs années. Je sais aussi qu'il est forgeron et il semble faire un très bon travail comme que l'homme qui ma donner les renseignements aujourd'hui m'a dit. Ce que ma mère a dit aussi est que je m’entendrais bien avec lui et qu'il devrait être en mesure de me protégé comme que tu le fais et s'occuper de moi, même si me débrouille assez bien pour moi même sauf en cas d'attaques de pervers et de brutes.

Un faible sourire apparu sur mes lèvres. Demain ils iront sur le bateau…et ils essaieraient de trouver cet homme. Le rapprochement qu’elle venait de faire ne me fit pas fuir au contraire. Le sentiment que je ressentais était claire et net, mais pourtant quelque chose en plus me frênaies à lui montrer. Si je trouvais se qui me frênaies je pourrais lui révéler durent le voyage. Je lui caressai les cheveux tout en réfléchissent.

Tout le reste de la journée fut plutôt tranquille et j’eu l’impression que la nuit tombât rapidement. Comme toutes les nuits où elle était resté a la maison, Léliana dormis sur la banquète devant me fenêtre. Je senti a plusieurs reprise qu’elle voulu me rejoindre, elle resta un moment indécise. Puis finalement elle vient se blottir dans mes bras. Je ne la chassai pas et referma mon étreinte sur elle. Le lendemain matin j’expliquai à Armène que j’allais partir avec Léliana pour aller sur Edenras. Elle cherchait quelqu’un qui se trouvais là-bas et je ne voulais pas qu’elle y ale seul. Ma mère trouva dure de me laisser partir, mais je n’étais plus un petit garçon et elle savait parfaitement qu’il savait se défendre. Armène accepta, elle en informerait a son mari quand elle le verra. Damien lui se trouvais surement a l’arène. Léliana et moi sortirent finalement de la maison avec des provisions.

Elle le voyait se retenir de l'embrassé, a l'intérieur d'elle, elle trouvait ca mignon et drole en même temps. Il était le seul a ne pas lui avoir sauté dessus au premier moment. Ils s'étendirent et restèrent collé comme ça un a l'autre tout la journée, le temps passa rapidement et le souper vint et puis le temps de dormir. Il ne l'invita pas a dormir avec lui donc elle dut prendre la banquete qui se trouvait dans la chambre. Certes elle était dans la même pièce que lui, mais elle ne réussi point a s'endormir. A plusieurs reprise, elle resista la tentation d'aller le rejoindre dans le lit et s'endormir dans ses bras puissants. Après plus d'une dixaine de fois, elle finit par céder et se glissa doucement dans le lit et se colla contre lui, il l'entoura de ses bras et elle s'endorma rapidement. Le lendemain, elle se réveilla doucement et de bonne heure comme ils devait partir assez tôt pour ne pas manquer le bâteau pour Edenras. Devon expliqua à Armène le voyage tandis qu'elle s'occupais de faire les provisions nécessaire au voyage. Quand tout fut près elle donne une caresse a Armène pour lui dire aurevoir et merci et sortie avec Devon dehors. Une fois rendu un peu plus loin, elle glissa sa petite main dans la sienne. une partie du voyage aurais été fait a pied main un pècheur de la ville leur offra de monté a bord du bâteau comme il avait besoin d'aller à Erelrhyl, la ville ayant un port assez grand pour les âteau fesant la navette entre les divers continents.

Une fois rendu Erelrhyl après un court voyage d'environ deux heures, elle sortit une piece d'argent pour remercié le pêcheur et marcha aux cotés de Devon qui semblait savoir mieux que elle ou aller. Une fois arrivé devant un grand bâteau. Devon commença a parler avec un des homme en charge et léli ouvrit son livre et inscrit dessus.

Es-ce que c'est sur bâteau que nous allons être?

Elle le regardait avec de grand yeux pétillant.

Parlent avec l’homme près des quais, qui se trouvaient être le capitaine du bateau accosté juste devant eux. Le capitaine Drevic me connaissait de réputation. Le champion de l’arène de Térim était fort connut même en dehors de la ville. L’homme de bonne stature décrivais des combats au qu’el il avait assisté l’ore d’un de c’est journée de congé. Je me trouvai un peu gêné par son enthousiasme.

-C’est très flatteur capitaine. Tout se qu’on aimerait savoir c’est si c’est le bateau qui va pour Edenras?

L’homme fut bien heureux que je disse sa parce qu’il commença à me louanger son bateau. La réponse était claire pour moi. Le Calypso était le transport qui les mènerait jusqu’au continent royal. Il nous invita à le suivre jusqu'à son bort et il nous souhaita le bon voyage à bort.

-Alors la, je ne me doutais pas que combattre dans une arène me rendrais aussi populaire!

M’exclamai-je en fixent toujours le capitaine Drevic qui s’éloignait pour aller saluer les nouveaux passagers qui arrivais. Finalement je détournai le regard et je le posai sur l’horizon. Un frisson me parcourra, de l’eau a perte de vu…Misère. Moi qui n’aimais pas particulièrement toute cette flotte!

Elle le suivi a bord du bâteau, elle resenti son malaise du au fait qu'ils seraient longtemps en mer et elle savait qu'il n'appréciait pas vraiment l'eau. Elle voyait bien également qu'il se retenit de quelque chose, mais ne savait pas quoi. Il était beaucoup plus attentioné envers elle ce journée la également et elle était heureuse. Le navire était très grand et un matelot leur dit ou se trouvait leur chambre pour la nuit. Comme il y avait pas énormément de gens qui voyageait cette journée la, ils seront seul dans une des cabines. Le bâteau finit par partir au large, les terres commencèrent à s'éloigné au début tranquillement et par la suite plus rapidement. Elle regarda au large, en direction d'Edenras, qui'ils n'atteigneront que le lendemain vers la fin d'après-midi. Elle se colla un peu contre lui, juste pour se sentir en sécurité, il y avait beaucoup d'hommes sur le bâteau et elle était un peu nerveuse du aux évenements de la veille. Elle resta sage, et le bâteau vers le milieu de l'apres midi frappa une plus grosse vague et ils furent aspergé d'eau. La Devon partit se mettre a l'abrit a l'intérieur et elle le suivi, n'aimant pas être séparé de lui. le restant de la journée fut relaxe, les deux étendu sur le lit jusqu'au souper ou il durent rejoindre le capitaine pour manger.

Me tenir sur le pont étais déjà un exploit, vu que juste la vu me décourageai. De l’eau a perte de vu. Foutu flotte!! Mais se fut quand une vague toucha le pont et moi par la même occasion que je filais illico vers la cabine qui nous était prêté pour la traverser. Je me séchai en vitesse et m’étendu sur le lit. Léliana me suivie jusqu'à l’intérieur. Je fermai les yeux. Je ne réagie pas quand elle vient se glisser juste accoté de moi. Elle cherchait apparemment de la chaleur et de la sécurité. Le souper arriva plus vite que je ne le pensais et on du se lever pour aller manger a la table du capitaine. Je me redressai, attrapa mes armes et les rangea dans leur fourreaux. On sorti de la cabine et se dirigea vers celle du capitaine. Elle était grande, assez pour y faire tenir un lit, plus en retrais, une table, et des meubles utile.

-Je suis content de vous voir. Aller venez vous asseoir à coté de moi.

Nous invitâmes le capitaine Drevic, un large sourire aux lèvres. Nous l’écoutâmes et viens s’installer a sa droite. Tout au long du repas il relata des événements de la journée. Comme l’or ce que la vague avais frappé le navire sur le pont et je m’étais réfugier a l’intérieur.

-Je n’aime pas particulièrement l’eau capitaine.

Lui expliquais-je. Drevic ne sembla pas déranger outre mesure qu’un champion d’arène m’aime pas l’eau. Il en avais surement vu beaucoup de gens pour se dire qu’il y en avait qu’il ne l’affectionnait pas. Je fus content qu’il ne posse pas de question a se sujet, très peu savais pour mes origine salamandre. Et sa devais rester comme sa pour le moment.

Le repas arriva plus vite qu'elle pensait, car un matelot était venu les chercher, elle resta proche de Devon juste pour être sur qu'elle était en sécurité. La cabine était merveilleuse à ses yeux, mais cela l'importait point pour l'instant. ils avaient été invité a s'assire au côtés du Capitaine. Elle resta silencieuse tout le long, certes ce que disait le capitaine comme les évenements qu'ils avaient manqué. Après un certain temps, le capitaine qui trouvait cela étrange que Léli ne parlait point demanda a Devon:

-Es-t'elle muete, car depuis le moment que vous être embarquer, je n'ai pas rien entendu de sa par et je trouve ça un peu curieux. Et aussi es-ce ta petite soeur ou ta copine?

Il demanda sa poliment et doucement, Léliana garda le silence malgré tout, elle économisait sa voix dut au fait qu'elle voulait se dévoiler à son père de vive voix.

Avec son livre elle écrit discrètement à l'intention de Devon la raison pourquoi elle était silencieuse:

Je parle pas comme que je vais avoir besoin de ma voix demain et avec ma profession de barde, le plus j'utilise ma voix le moin mes sorts sont puissants.

Elle continua donc a mangé tandis que Devon lui expliquerait.

Le capitaine demanda si Léliana étais muette. Puis pour lui répondre elle fi voler son livre jusqu'à lui et lui écrit les mots suivent :

Je ne parle pas comme que je vais avoir besoin de ma voix demain et avec ma profession de barde, le plus j'utilise ma voix le moins mes sorts sont puissants.

J’expliquai au capitaine Dervic se que Léliana ne lui avais pas dit. Une fois terminer, sans trop en dire le capitaine se grata la barbe. Il dit que c’étais intéressent et que c’étais la première fois qu’il croisait un être qui communiquais comme sa. Le repas passa par la suite assez vite et on put retourner à la chambre.

-Ouf, le capitaine est de bonne compagnie, mais je suis quand même content d’être au calme maintenant.

J’enlevai ma chemise, mes armes et tout se qui pourrais me gêner durent la nuit puis je me glissai sous les couvertures. Bref je ne portais qu’un boxer et mes gans, que je refusais toujours d’enlever. J’eu à peine fermé les yeux que je senti le corps de Léliana se collé contre moi. Je soupirai, sachent très bien que la décollé de là étais pratiquement impossible. Je sentais sa peau sur la mienne, encore une fois elle c’étais presque complètement dévêtis. Re soupire. Puis je fini par m’endormir.

Devon fut selon elle, très doué a expliquer le tout. Certe elle lui avait donné la majorité des détails par le passé donc c'était beaucoup plus facile pour lui. Le capitaine trouvait le tout intriguant et intéressant, le restant du repas fut rapide au soulagement de Léliana. Certe le capitaine était un homme très sympatique et gentil, mais elle aimait mieux se retrouver seul avec son protecteur, son ami et se collé contre lui. Ils rentrerent dans leur chambre et Devon dit:

-Ouf, le capitaine est de bonne compagnie, mais je suis quand même content d’être au calme maintenant.

elle était d'accord avec lui. Elle le regarda se dévêtir et aima se qu'elle vit, elle fit come rien n'était et alla se rafraichir le visage dans le bassin qui était fait pour cela. Elle avait les pomettes rouge de gène, il était si musclé, si beau, si mystérieux. elle était pour une raison inconnu attiré comme un aimant vers lui. Elle se sentait si bien proche de lui, en sécurité. elle retira son corset et sa jupe, ne gardant que son soustient-gorge noir sans bretelle et son string de la même couleur et elle se faufilla vers lui, vers sa chaleur. elle se colla contre lui, déposant doucement sa tête contre son torse musclé et bronzé. Elle s'endormi plutôt rapidement. Durant la nuit parcontre quelque chose d'étrange arriva, certe pour léli, ce n'était pas nouveau, cela faisait quelque fois que cela arriva. Durant son sommeil, des plumes se formèrent sur son dos, au niveau des homoplates et finirent par formé un belle et délicate paire d'ailes blanche dans le dos de Léliana, augmentant en même temps son poids total. elle ne se réveilla cependant point pour autant.

La nuit étais tombé vite, elle passa encore un moment quand je senti un pois supplémentaire. Sur moi… Sa ne pouvais pas être Léliana, elle pesait si peu. Mais alors qu’es que c’étais? Je me redressai, les yeux encore embrouiller. Quand ma vu fut parfaite je sursautai presque. Devant moi ou plutôt au dos de Léli, sortais deux ailes blanche. Comme celle des oiseaux, mais en proportionnelle a la taille de Léliana. Mais d’où sa venais sa?! J’effleurai la peau de son dos ou sortais l’aile droite. Elle était toute froide et a la fois si chaude, prenant la chaleur de mon corps. Je frissonnai, j’avalai de travers, en essayent de comprendre. Comment est ce que sa pouvais être possible, je l’aurais remarqué avec le temps… Un secret qu’elle ne me disait pas? Je la repoussai légèrement sens qu’elle ne s’accroche a moi, étrange. Elle devait rêver. Je rabattu les couvertures sur elle et alla marcher un peu plus loin. Je ne savais pas quoi penser. Est-ce que sa avais rapport avec son père? Car sa devais être dur a la génétique, elle ne l’avait surement pas retenu du voisin. Je tournais la tête vers elle pour voir si elle avait bougé. Rien, elle était toujours allonger sur le lit, serrent l’oreiller comme s’il s’agissait de mon torse. Je restai là, à la regarder. D’autres questions se rajoutaient à une montagne déjà existante.